![Hogwarts, un lycée sans magie](https://2img.net/s/t/14/51/00/i_logo.png)
Et si la magie n'avais jamais existé? Quelle serait la vie des personnages d'Harry Potter? A vous de nous le dire... |
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Frédéric De Vaneck Non défini
![Frédéric De Vaneck](https://2img.net/u/1512/40/73/50/avatars/39-15.jpg)
Nombre de messages : 237 Dortoire: : contre ses parents Loisirs : 15 ans Spécialité : mélé Date d'inscription : 23/02/2008
![fragments de moi Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | Sujet: fragments de moi Mer 23 Avr - 23:58 | |
| ~~dernière volonté~~
Prison de terre émergée, Tu es vaste, mais trop peuplée, Tes gardiens son cruels Et tes juges imparfaits Condamnent à perpétuité Des innocents aux rêves brisés.
Collines aux couleurs variées Passant du blanc au vert sans oublier Le gris bleuté d'avant pluie. Vous encerclez ma vie M'enfermant dans la vallée Mi-campagne, mi-cité.
Ton seul liquide est écarlate, C'est le sang de tes captifs, Que tu absorbe avec hâte Laissant les corps sans vie.
Et ton grand opposé, Idéale de liberté, Aura de moi ce que je te refuse : J'en ferai ma sépulture
~~PL~~
Je me souviens du premier jour Et surtout de ton secours. A toi je me suis dévoilé Et tu as su me redonner Même pour quelques heures Ce qu’on appelle l’espoir, Moi qui me terrais dans la peur De ne plus voir.
Il m’a fallut pour cela 4 ans Avant de te dire exactement Ce qui ma blessé et meurtri Avant que tu entre dans ma vie.
J’ai même, c’est très étrange Ressentit, comme un ange, Un ange gardien, que ton cœur Se meurtrissait de douleur, Emprisonnant le mien Dans le malheur qui était tien. Tu étais le premier ainsi connecter A mon être, et je me suis jurée Que tu serai le dernier. Et des autres, je n’ai put me rapprocher Je m’en suis même éloignée De crainte d’être à nouveau blessée.
Mais je n’ai pas su tout te dire, Ainsi tu n’as put voir venir, Malgré les dessins noirs de sang, Mon amour grandissant Pour ce qu’on appelle Le vide derrière la fenêtre.
Tu n’as pas été non plus capable De déchiffrer l’explicite. Puis par la suite, Tout c’est enchaîner, inexplicable.
Qui de nous deux A fermer les yeux ? Qui, de l’un ou l’autre ? Mais de cette faute Il n’y aura au grand jamais Une chance que l’amitié renaisse.
~~Pourtant~~
Quand on a goûté au bonheur, trouvé une vocation, Il est difficile de tout oublier. Mais mon avenir est à jamais brisé, C’est à ce titre que je perds la raison.
Quand on a goûté au bonheur d’une vie qu’on aspire Avoir conscience de l’irréalité De ce rêve qui s’est pour un temps réalisé. C’est bien là, je crois, le pire.
Quand on a goûté au bonheur de se sentir libre Quand il dépasse ce qu’on a imaginé, Au point de croire qu’on a rêver. Là-bas est resté mon sourire.
Quand on a goûté à un tel bonheur, Même qu’une semaine, On se bat pour qu’à toute heure Cette sensation nous revienne.
Pourtant j’abandonne.
~~Réalité~~
J'avance doucement parmi vous être humains de cette planète bleue, Moi, pauvre extraterrestre qui, partout Continu, un pas puis deux. Partout, jour et nuit, Toujours courir après la vie Qui fuit un peu plus chaque seconde Et qui ravive cruellement Les erreurs qui se morfondent Seules, elles attendent patiemment D'être reprises, Consultées et comprises. Pauvre idiote que je fais Je n'arrive qu'à pleurer En employant l'imparfait Pour ne jamais le nommer. Qui est-ce déjà ? Mais un ami, Bien plus... tout est fini ?
J'arrête pour ce soir, J'allume un feu, de joie. Sur ce chemin sans trottoir C'est un cheval que j'aperçois. Je le prenais pour une licorne. Le soleil met sa plus belle couronne Pour aller se coucher. La Lune prend sa place, c'est beau Comme cérémonie vue d'un pré. J'ai mal, et que des placebos... Ce n'était qu'un mirage, firelicorn, J’ai cru en toi... Quelle conne !!!!
Je reprends ma route En laissant le feu derrière, Unique trace de mon passage, nul doute. Ce feu qui se meurt va bientôt se taire. La douleur est insoutenable, Aussi bien physique que morale Et aucun médicament n’agit. Si on ajoute la déception : Un rêve de gamin détruit, Est-ce une punition ? Se plaindre, c’est banal Immature et fatal.
Si ce rêve c'était réalisé, Aurais-je côtoyée les fées ? En serais-je devenue une ? A cette question, il n'y a aucune Réponse. Et puis, tout simplement Aurait-il eu quelqu'un pour me tirer du néant ? Vous aurais-je rencontrer ? Marins et amis de rpg ? Je ne peu pas dire que la vie A été injuste. C'est pourquoi je la poursuis.
~~Sépulture~~
Amsterdam ou Saint Nazair, Toulon ou Monaco, Des villes où vivent les bateaux, Rien en commun si ce n’est l’océan, la mer.
Mer et terre se battent sur la planète Pour savoir qui régnera à la surface Et laquelle des deux empiète Sur l’autre, pour dans son cœur prendre place.
Mais nous le savons déjà, La campagne retient son corps, Alors que sa jeune âme Appartient à cette eau qui tue encore.
~~Liberté~~
Ils veulent mon bien, Mais inconsciemment, Ils m’étouffent en leurs seins Où je me démène violemment. Je pars la semaine Dans un lycée de peine, Le samedi, c’est chez une fée, Ou dans l’armée, Et le dimanche Sur le vélo ou dans ma chambre. Je les fuis chaques jour Mais ils reviennent toujours. Cette feuille rose se tartine De vers à l’encre rouge Tel le sang qui dégouline De mon être si fougue, Qui pour atteindre la liberté Est prêt à se tuer.
j'en ai des pire, mais je les garde pour plus tard ainsi que me plus belles créations poétiques | |
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![fragments de moi Empty](https://2img.net/i/empty.gif) | Sujet: Re: fragments de moi Ven 25 Avr - 0:45 | |
| ~~Visage attristé~~ Un brouillard se poser sur la mer tourmentée, Cette même étendue sombrement argentée Qui s’emplit et se vide sous les intempéries Débordant souvent sur les terres bombées de vie, Entourant la montagne pour finir son chemin Aux portes d’un palais ou dans un vide sans fin.
Le brouillard se pose sur la mer insondée, Cachant ainsi le soleil qu’elle y a piégé Dans l’espoir de se réchauffer sans se douter Qu’elle illuminait les autres en restant glacée.
Cette mer enveloppée de ce brouillard sans fin Et submergée par la pluie de chagrin Qu’elle sombre lentement au fond de son lit. Recouverte et enfouie par ses flots sans vie.
voilà la métaphore filée
~~Annihilation des fées~~
En détruisant les libertés Obtenues avec difficulté Vous forcez à oublier Comment le sang à coulé Ce liquide rouge qui fut déversé N’a pas fini de se répandre pour revendiquer Ce qu’on appelle l’Egalité Une artiste que je ne vais point nommer A réussi sans le savoir à regrouper Cinq filles qui vénèrent la Tolérance et Qui sont déterminées Elles prennent part pour des causes méprisées Et aimeraient éradiquer Le sectarisme des mentalités
Voilà le travail d’une fée
Alors je vous demande d’arrêter Pourquoi ces efforts sont-ils brisés ? Ainsi les fées sont blessées Elles ne pourront plus vous aider Quand l’espoir se sera dissipé On ne verra plus que le pire Les fées se laisseront mourir
lutte contre l'intolérance
~~pêche sanguine~~
J’ai une irrésistible envie de pleurer à nouveau : Pourquoi les êtres aimés s’amusent à construire notre tombeau ? Comme toi, sais-tu que ma peau brûle sous tes mains fraîches ? Je voudrais pourtant m’évader, te quitter, moi pauvre pêche. Tu mets les lèvres sur ma peau de velours, puis tu me mords, Sur ta bouche coule mon jus rouge et dans tes mains mon corps. Mais tu n’as pas put, ou bien pas voulut réaliser Que tu m’as consommée et tuée, moi qui t’ai tant aimé.
tous les vers sont en 15 sylabes
~~Monde fictif~~ Dans ce monde il existe plusieurs notions Et variante de notre personnalité. Ces distinctions notables peuvent être expliquées Par les différents lieux où nous développions Tout ce qui fait de nous ce qu’on est a présent.
En premier lieux l’école, mais pas d’illusion, Ce n’est pas un hommage, une simple allusion A ces bancs froids en hiver et chauds en été Où du fond de la classe on se met a rêver, Rêver de partir pour profiter plus du temps.
En deuxième position, nous mettons souvent Les amis, véritable ou non, et qui pourtant Profitent et dans le dos poignarde sans regrets. Seules aides, ils enfoncent dans ces océans trop près Et tumultueux, nos corps meurtris par leurs soins.
Maintenant je souhaiterai simplement tes bras Pour y construire une nouvelle vision rien Qu’à nous, et faire passer avant tout notre lien Que sera la famille qu’ensemble on formera. Et de ses violences, nous partirons très loin.
tout en alexendrin
~~Demande informulée~~ Chère maman, cher papa, Je suis là mais vous ne me voyez pas. Trop occupés, l’un à travailler, L’autre à finir ses études Dans l’espoir d’un meilleur futur, Mais le drame est déjà arrivé.
Ma petite maman, mon petit papa, Je suis là mais vous ne le savez pas, Et bientôt par ma faute Votre vie va chavirer. J’entends pourtant vos rires raisonner Mais vos rêves vont tomber à l’eau.
Cher papa, chère maman, Je suis là, vous le savez à présent. Hélas, vous n’avez rien pour m’accueillir Car il était trop tôt encore. Et je comprends alors Qu’entre moi et vos familles, il vous faut choisir.
Petit papa, petite maman, Votre choix est fait depuis longtemps. J’ai détruis votre amour. J’entends à jamais vos « pourquoi » alarmés, Et je vous demande à mon tour Pourquoi m’avez–vous tué ?
la demande d'un embryon à ses parents. Ne prenez pas ça pour un poème contre lavortement, c'est juste pour rappeler qu'il existe maintenant des moyen de contraception efficasse pour éviter ce genre de situation.
~~~L' allumette~~~
Une allumette, objet vulguère, Mais déclencheur de guerre. Autour d'une même personne Deux être ne peuvent s'entendre. On la chauffe, elle s'allume, elle brûle et se consume. Par amour ou par amitié, elle est prète à se sacrifier. Si personne ne l'éteind, elle se meurt en un tas de cendre ils l'aiment bien, mais ne la voient pas descendre une allumette, objet fragile : un choc et elle se casse. Elle, si agile, meurt sans que nul le sache.
maintenant lit le tete en orange puis le texe en cyan s'éparemment
~~En partant~~
Je marche seule au milieu de vos corps, Le monde est fout, Vos têtes orientées vers le Nord, Seul un est en boule, Je m'arrête pour le regarder Mais vos corps continuent de défiler...
Une fée scintillant d'orange, On dirait le soleil couchant, Envoi une licorne de feu Qui me prend entre ses ailes Et m'enmenne vers elle Accompagné par une musique bleue Et une voix d'ange, Je comprends ...
La pluie s'acharne sur mon corps, Mon amour, je ne sens plus tes mains Et je me vois encore Marcher au milieu de vos corps morts. Je sais à présent pourquoi C'est vous qui piétinez le mien.
la dernière strophe est à faire pivoter de 90° dans le sens inverse des aiguilles d'une montre par rapport à la première strophe, la strophe du millieux n'est qu'une transition
Magashi. ( je garde les acrostiches pour un autre jour) | |
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