L'étoile

pas mal du tout, ça donne presque envie de connaître bella lol (je dis presque par respect pour mon perso qui n'en aurait jamais envie lol)

Merci 'Mione ^^

Chapitre 2

Je suis désormais seule. Mon maître, le seul homme pour lequel je n’est jamais éprouver un attachement sincère, était disparut. Un Gamin, un enfant stupide avait défait mon maître bien aimé. Moi, fidèle partisante de Lord Voldemort, ne savait plus où mettre de la tête. Je me raccrochais inlassablement à des souvenirs de plus en plus confus. De plus en plus effacer. Je le recherchais sans cesse, ne dormant plus, souhaitant que ma marque des ténèbres brûle…ne serais-ce un peu… Mais rien. Moi, Bellatrix Lestrange, devenait de plus en plus épuiser, le manque de sommeille avait transformé mes traits gracieux et aristocratique pour devenir tout aussi effacer que mes souvenirs. Contrairement aux autres mangemorts qui semblaient avoir plus peur de finir à Azkaban qu’attristé par la perte de leur maître, Je ne cessais d’espérer un signe de sa part. Il ne pouvait pas être mort. Même Rodolphus ne semblait pas attrister ce qui causait une froid glacial dans notre couple. Mais il y avait longtemps que nous connaissions cette période de froid. Rodolphus remettait toujours notre union en doute ainsi que l’attachement que je lui portais, persuadé que je préférais le Dark Lord a lui. Peut-être avec raison, car je ne suis pas la plus aimante et la plus démonstrative des femmes. Je suis plutôt glaciale et sadique, même avec lui et semblait plus loyale et fidèle au seigneur des ténèbres qu’à mon mari. Aurait-il dû être jaloux? Certain croirait que oui. Mais personne n’avait jamais rien dit sur cela, surtout pas depuis la disparition de Voldemort, Car je semblais de plus en plus à cran et personne n’aurait prit le risque de faire quoi que ce soit de travers. Puisque je plongeais dans un désespoir dangereux qui prenait chaque fibre de mon corps et de mon âme en hottage. J’avais tout aussi peur. Peur de quoi? C’était simple, peur de ne plus jamais revoir celui qui m’avait inévitablement séduite dès notre première rencontre. Dès que mes yeux noir c’était poser sur cet homme. Mon cœur, comme mon âme se mourrait de le revoir une dernière fois. Personne ne serait surpris si demain matin, J’avouais être amoureuse de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Par contre, jamais je ne prononcerais ces mots. Jamais je ne mettrais ainsi mon âme à nu. Tout ce que je voulais savoir c’était ce qui était arrivé à mon maître…Où était-il?

Sans lui, J’étais éternellement perdue dans la noirceur de mon âme. Mes pensées, de plus en plus anarchiques et sadiques, s’infiltraient en moi comme des serpents glacés. Autre fois, mon maître me guidait dans les couloirs sombres du mal, dans les vastes étendues qu’étaient les ténèbres. Il avait fait de l’aristocrate insociable une reine sans trône. Une reine qui voulait sur les ailes froides de la mort. J’avais apprit à rependre un enfer glacer autours de moi qui affectait chaque personne autours de ma victime. Jamais, je n’aurais cru que c’était si pénible de perdre la personne pour qui mon cœur bat. Et plus le temps s’échappait a un rythme diablement long, plus la raison, déjà presqu’inexistante chez moi, s’effilochait aussi. J’avais besoin de lui comme les fleurs avaient besoin d’eau. Il était mon oxygène, ma raison d’avancer. Chaque seconde semblait être des minutes et chaque minutes semblaient durées des jours. Il me manquait terriblement, la neige semblait même plus froide, le soleil semblait briller moins fort, ou peut-être était-ce que ces rayons ne m’atteignaient pas? Son sourire horrifique me manquait, sa voix froide, ou plutôt l’absence de sa voix me faisait mal. Son silence devenait insupportable et si dure à endurer que parfois, dans un élan de douleur atroce, je me mettais à hurler son nom. Mais il ne pouvait entendre mes cris, ou ne voulait les entendre. Comme s’il ignorait sa fidèle partisante. Il était toujours vivant, je le savais…mais ou était-il?

Mon errance avait durée si longtemps…Si longtemps que je ne savais plus ce que je faisais là. J’ignorais comment j’étais arrivé dans la maison de deux aurores. Une partie de moi espérait finir à Azkaban pour le simple plaisir de m’enfermer dans un tourment infernal, m’enfoncer dans une folie sans que personne ne puisse me le reprocher. Vivre dans mon monde à moi sans que personne n’interrompe mes songes, jamais. D’un autre côté, je ne pouvais l’oublier, comme je ne pouvais oublier qui j’étais.

-Endoloris…

Ma voix me semble irréelle. Cent fois, j’ai prononcé ce mot, cent fois j’ai regardé les Londubat se tordre de douleur. Mais je semblais absence, déconnecter, malgré mon rire dément, je n’étais simplement pas là. Je songeais à lui. Ce geste complètement désespérer était pour le salut de mon seigneur. Pour tout ce que j’aurais pu faire sous ses ordres…

Un supplice éternel. Pour moi ou pour eux? C’était là la question. Encore une doloris lancer sans le moindre remord, m’enfonçant dans les méandres d’une folie tapageuse et cruelle. Et alors? Je n’avais plus rien à craindre, plus rien à perdre, j’étais méchante et je le savais. Le ministère, la gazette, la population et même les mangemorts ne verraient pas en ce geste un signe de détresse. Mon signal de détresse. Ils étaient tous trop aveugles pour remarque que je n’allais pas bien. Une femme comme moi peut-elle vraiment sombrer? Oui, bien sûr, car même en étant fanatique et d’une cruauté sans limite, je reste toujours une femme. Un peu fleur bleue et d’une fragilité cacher des barrières infranchissables. J’étais profondément vulnérable et je crois l’être toujours. Ce que personne ne voyait c’était que derrière chaque psychopathe était obligatoirement écorcher, je suis écorcher! Je suis blessée à un degré telle que la vie n’a plus aucune importance a mes yeux. Même si je savais que vous-savez-qui se servait de moi, de mes sentiments envers lui contre moi, je ne pouvais rien faire contre. J’étais et je suis toujours à lui et à lui seule! Si Rodolphus à mon corps, lui avait mon âme. Mais il n’était pas là. Il ne le savait pas…J’espérais presqu’il soit mort pour que personne ne puisse blesser son âme déjà mutiler, et cela aurait été si simple le rejoindre au-delà la mort… Mais c’était irréel, il était toujours là, vivant mais. ..Ou était-il?

- Endoloris….

Ma propre voix résonnait à mes Oreilles comme la pire musique existante. Elle sonnait faux mais personne ne semblait le remarquer. D’une certaine façon j’ai toujours eu un contrôle absolu sur mes sentiments et encore là j’en faisais preuve. Malgré le fait que j’avais envie de pleurer, mon visage restait impassible, mes lèvres ne tremblaient même pas. Resserrant mes doigts sur ma baguette magique je regardais la folie qui prenait peu à peu place dans les yeux des Londubat sans aucun sentiment, si ce n’étais que je souffrais moi aussi. Jamais je n’aurais cru que c’était si douloureux…jamais. J’avais toujours cru que je ne subirais pas sa mort, que je mourrais avant lui. Je m’étais trompé. Lui qui à mes yeux n’avais aucune faiblesse avait disparut de mon monde à cause d’un enfant, de ce bébé Potter! En regardant fixement le couple enlacer dans une souffrance insupportable, je ne pu m’empêcher de penser que j’aurais dû être a leur place. J’aurais dû mourir à la place de mon maître. Mais je refusais obstinément de croire qu’il était mort…Ou était-il?


- Endoloris….


Cette fois, ma voix était qu’un murmure effacer et noyée dans le flot de larme qui envahissait ma gorge dans un goût amère. Pourquoi m’avait-il abandonnée? Pourquoi étais-je ici? Qu’est-ce que je faisais là pour l’amour de dieu?? Pourquoi avais-je cette envie irrésistible d’éclater en sanglot? Là, maintenant. Pourquoi ne puis-je pas simplement oublier ses yeux rougeoyants, sa voix froide, sa façon de me parler…Pourquoi? Cependant, je n’eu jamais le loisir de trouver les réponses, car un jet de lumière rouge me frappa en plein fouet…

ouah.... brrrr c'est terrifiant ^^" Kit connait l'endoloris grace à maman Bella alors ^^"