Nom : Flitwick
Prénom: Filius
Age:
Poste demandé: Les postes que le professeur occupe dans les livres
Sang: Mêlé
Physique (5 lignes complètes): D 'une taille minuscule, le pauvre professeur Flitwick ressent en toute sa splendeur son sang de gobelin. A l'apparence chétive et fragile, la peau grise et parcheminée, c\'est un vieux sorcier, comme en témoigne sa tignasse de cheveux blancs, toujours ébouriffés et virevoltant au gré de ses propres incantations. Son crâne est toutefois assez clairsemé, surtout en son zénith (1m30). Il a une virulente moustache dont le prolongement suit celui de sa barbe toute aussi blanche, et de profonde rides comme de larges cernes sous ses minuscules yeux noirs comme des scarabées. Il est remarquable de sa légère voix flûtée et aiguë, prodigieusement parfaite pour la diction des enchantements. Il se dégage de l 'ensemble un aura assez sympathique, et on prendrait volontiers ce professeur pour un grand père bienveillant et à la mine quelque peu farceuse ... (confer Adalbert Lasornette).
Caractère (5 lignes complètes): Filius Flitwick est originaire d’un milieu assez miteux de la sorcellerie. Enregistré dans les fiches du ministère comme semi gobelin, et vu la très mauvaise place qu’ont les créatures ou semi créatures dans la société, ses parents ont œuvré toute leur vie pour essayer de cacher ce détail qui a finit par les plonger dans le culte du secret quant à leurs origines. Son père, employé à la maintenance magique du ministère, et sa mère, cousine du célèbre Adalbert Lasornette et femme au foyer, ont eu peine à amasser une rente légèrement supérieure aux dépenses occasionnées par les études très complètes du petit Filius. Par chance, du petit Filius émergera le grand duelliste accompli, apportant une renommée à la petite famille béta qu’étaient les Flitwick. Le poste de professeur qu’il décrocha peu après l’arrivée de Dumbledore, qui n’y est sans doute par pour rien, couvrit d’honneurs une famille méprisée et rejetée par le passé, apportant un bon petit pécule aux actuels retraités que sont ses parents.
Ses passes temps sont une priorité. Bien sûr, le sirop de cerise avec boulle de glace vanille et ombrelle reste son péché mignon, en plus d'un bon rôti de bœuf bien relevé. Il cultive une passion secrète pour les moldus, lesquels suscitent en lui une attirance indubitable du fait de leur non maîtrise de la magie et surtout du fait qu'ils ont développés des théories extravagantes et des moyens de substitutions à la magie tel l'électricité. Il est captivé par la télévision et surtout par les émissions de science. Qui pensera à lui présenter Arthur Weasley et ses babioles magico-moldues ? En plus de cet intérêt pour les technologies de substitution à la magie moldue, son intérêt pour les théories magiques, qu'il partage avec M. Lasornette, est très important, ce qui fait suite à de nombreuses recherches personnelles souvent productrices de détonements et d'odeurs variées. Il a un faible prononcé pour le terroir français et britannique et ne se refuse pas une baguette de pain accompagnée de son morceau de camembert et de son verre de Bordeaux. Il a une chouette grise, Auxia, qu\'il chérit tout particulièrement, de ce fait la chouette a un large surpoids dû au miam-hiboux. Il vénère littéralement Rowena Serdaigle et sa maison dont il est le directeur. "Tout homme s'enrichit quand abonde l'esprit" est sa devise.
Les traîtres, les fainéants et les satellites en tout genre du seigneur des Ténèbres. Il a une aversion des insectes, et active un charme de désillusion dès que sa chouette revenue de chasse lui présente une araignée bien juteuse comme trophée de guerre. Lors des violentes colères bimensuelles de son bureau, les murs de ce dernier s'anime de géantes mantes religieuses en pleine dégustation de leurs ancien amants, les femelles dévorant les mâles peu après leurs accouplement. Il préfère alors dormir dans sa salle de classe. Les gens sans culture, il ne les tolère pas, plaçant la culture et la connaissance au dessus de toutes les valeurs, sauf peut-être de l'honnêteté et de l'amitié. Il ne supporte pas le mensonge et la trahison, raison de sa relation amicale mais fraiche avec Severus Rogue. Fut un temps, il apprit et rechercha beaucoup de choses sur la magie noire, et en fut totalement dégoûté. Ecœuré serait plus juste. Il nourrit maintenant une aversion franche pour de telles pratiques. Il est affreusement effrayé par l'eau et toutes les créatures qui peuvent y vivre. Il fait parti des gens qui se croient capable de se noyer dans un verre d'eau.
Histoire (25 lignes minimum): Le cas du professeur Flitwick est assez intéressant. De sang mêlé, il semble que sa famille ait toujours défendu la cause des sangs mêlés et plus particulièrement des hybrides, ce qui n’est pas surprenant le moins du monde, étant donné que le professeur Flitwick est non seulement un Serdaigle, fervents défenseurs de l’accessibilité à tous d’une solide instruction, mais aussi lui-même un hybride, ayant un lointain aïeul gobelin, rien d’étonnant à vrai dire vu la carrure chétive et rabougris du maître des sortilèges.
L'histoire de Filius Flitwick commence assez sombrement pour être clair. Fils d'employé du ministère et d\'une femme au foyer, c'est un enfant du bonheur, ou tout du moins un enfant qui a vécu dans un amour très présent, en compensation des terribles conséquences que le sang de gobelin a sur le pauvre Filius et sa famille. Car la branche de la vaste famille qui compte les noms de Lasornette, etc. a purement et simplement éliminé et élagué son arbre généalogique de cette honte gobeline. Dans une enfance au contact de moldu, sorciers et cracmols, il côtoie des milieux fermés à ceux de son genre, en cachant son terrible secret. Très précoce, il découvre la magie en faisant de son matelas inconfortable un splendide lit à baldaquin moelleux, colorant de même ses murs bétons d'une touche magistrale d'orange barré de vert. Ce petit côté excentrique le suivra encore assez longtemps dans sa pratique de la magie. C'est à l'age de 7 ans qu'il convint sa première fée d'orner son arbre de Noël "faimaizon". La réussite allant grandissant à Poudlard, il retrouve l'honneur que sa famille avait perdu et entame une brillante correspondance avec des amis de tout pays, passionné qu'il est de charmes et autres sortilèges. Après 7 ans de franc succès à la maison serdaigle qu'il a toujours voulu honoré, il s'est rendu compte combien était grand le fossé qui séparait le gamin replié sur lui même et exclu du milieu "normal" de la magie et celui d'aujourd'hui, brillant et auréolé du prix Barnabus Finkley d'aptitude exceptionnelle aux sortilèges, accepté de nouveau de sa famille et du monde entier.
C’est depuis le début des années 70 que Filius enseigne les charmes à Poudlard. C’est bien entendu une preuve de la patience et de la passion qui l’anime en tant que maître des sortilèges. Appliqué dans son travail, il n’en reste pas moins un grand partisan du repos et de la quiétude. En tant que professeur, le talent de Flitwick est un outil précieux. Loin d’être un fervent adepte des méthodes d’apprentissages stupides telles le copiage de ligne et l’apprentissage purement théorique, il captive avec aisance des élèves goguenard vis-à-vis de sa taille minuscule en réalisant de superbes charmes, et n’en apprend pas moins aux élèves, malgré une nette tendance à croire que les élèves se passionnent uniquement de sortilèges et que de fait ils peuvent engloutir la « Quintessence » en une soirée de travail, ce qui, chez tout élève normalement constitué, relève de l’exploit. On notera néanmoins que sa matière obtient les meilleurs taux de réussite aux examens, BUSE et ASPIC compris. Rares sont les élèves qui n’apprécient pas sa tendre frimousse et son caractère doré comme une pomme et doux comme une barbe à papa. Il est d’ailleurs d’une très grande émotivité, éclatant en sanglot lors de l’enlèvement de Ginny Weasley par le Basilic géant, et très attaché à ses élèves en général. Son côté jovial et calme à la fois en font un être très apprécié, par les professeurs comme par les élèves. Il ne s’énerve que très rarement et demeure un sorcier doux en toutes circonstances, sauf peut être dans les duels, à propos desquels il a une réputation, champion de duel, qui s’est avéré. Lorsque Neville Londubat l’expédie maintes fois à l’opposé de son bureau au cours des leçons sur l’attraction expulsion, il ne s’énerve pas mais inflige des doses d’entraînement supérieures, une technique imparable car aisément vérifiable. Il adore les blagues en tout genres et adore en raconter, n’étant pas dépourvu d’un certain talent à cet effet. Sa curiosité est polie en apparence mais est, en réalité, incroyablement exacerbée. En tant qu'actuel ou ancien élève de l'école Poudlard, on sait identifier les flashs de lumière aveuglants ou encore les émanations d'odeurs intempestives et les célèbres retentissements d'explosions dignes d'une bombe H, comme étant l'oeuvre des intenses recherches que mène le Pr. Flitwick dans son gigantesque bureau du septième étage près de de la tour Ouest. Faisant parti d'une gigantesque famille, aux branches plus ou moins pures (bien évidemment pas la sienne), il attend souvent avec impatience les vacances pour de grandes réunions de famille, où il a le plaisir infini de croiser de célèbres sorciers comme Adalbert Lasornette ou encore sa très chère amie Miranda Fauconette, une sorcière accomplie tout comme lui. D'une excellente et humeur et fin plaisantin, galant, serviable et poli, il sait plaire aux gens avec lesquels il aime converser par correspondance. M. Belby ou encore Me Tourdesac sont de fidèles amis auxquels il sert d'exquises lettres toujours riches en détails concernant l'école, ses recherches et bien sûr sa large famille que sa nouvelle place dans la société à amener le reconsidérer, et donc à l'accepter définitivement, semi gobelin ou pas. Il est devenu un travailleur acharné, duelliste accompli, excellent professeur et fidèle et charmant ami, malgré le passé, un homme qui a su rester ouvert et optimiste à une vie qui n'a pas toujours voulue lui donner le meilleur.
Ancien champion de duel qui fit exploser la tenante du titre. A inventé quelques sorts à usage personnelles, notamment de décoration et d\'autonomie. Aucun autre signe.
Camp (mangemort, neutre ou Ordre, si oui les postes à podulard sont déconseillés): Ordre
Baguette: : Une des particularités de la baguette du professeur Flitwick est, pour dire les choses telles qu’elles sont, le contraste remarquable de leurs tailles respectives. 28,5 centimètres pour la baguette et 30 centimètres de longueur de jambes. On imaginera les commentaires qui seront suscités d’une telle alliance, notamment chez les élèves furieux d’avoir à lire du jour au lendemain divers livres sur l’attraction. Le bois de chêne est remarquablement apprécié par Filius pour sa douceur et pour une adhérence haute performances. C’est un crin de licorne, licorne particulièrement douce mais prompte à la réplique, que contiennent nos 28,5 centimètres, ce que Flitwick apprécie au plus haut point, car sa baguette est presque infaillible quant aux sortilèges de décoration, d’apparitions et de protections, avec lesquels ils s’illustrent notamment au cours des banquets d’Halloween et bien sûr de Noël. On se remémorera l’extase de M. Weasley devant l’apparition massive de boules d’or est autres guirlandes de fées.
Code du règlement (pour prouver que vous l'avez lu): Mandragore
Personne(age) sur votre avatar: Filius Flitwick
Comment avez vous découvert ce forum? Par Drago mais depuis déjas bien longtemps^^