Forgiven

Voilà, après une longue hésitation, j'ai finalement décidé (avec hésitation) a vous présenter ma fic qui a heum...plusieurs chapitre. Donc voici le premier, chose que vous aimeriez sans doute savoir lorsque la fin arrivera, c'est suposer être une triologie, mais je sais pas encore si je vais écrire la suite XDD. Bon j'arrête de parler et bonne lecture ^^'

Disclaimer: Vous connaissez le blabla habituel! Je suis pas payer pour la faire et les personnages appartiennent a J.K.R a part Claudia qui est moi!!!

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Chapitre 1:

Ginny; pensant à Drago:

Elle était allongée, là, immobile. Les médicomages s’affairaient autour d’elle. Toi, tu te tenais plus loin, bras croisés, le visage lacéré et le regard apeuré. Vêtu entièrement de noir, tu semblais décidé à lui faire payer, malgré le fait que je pleurais devant toi, pour ne pas que tu y ailles seul. Mais tu m’écartas et allas près de son lit, le lit de ta bien aimée, et tu déposas un baiser sur ses lèvres pâles en posant ta main là où ton enfant grandissait. Puis tu t’éloignas en nous souhaitant d’être heureux dans la vie, à Harry et à moi. Dans mes bras était pelotoné notre fils, James Potter. Tu es parti, sans un au revoir. Nous ne t’avons jamais revu. Hermione fut plus blessée que jamais.

Je me souviens encore de ce jour fatidique, où tu partis, sans un au revoir à ton aimée, détruire l’homme qui t’a tant pris. Je comprends d’une certaine façon, il t’a pris ta mère, tes amis, ta vie et maintenant il s’attaquait à Hermione. Mais pourquoi ne pas avoir agi autrement? Étais-ce ta seule solution? N’aurais-tu pas dû attendre qu’elle soit rétablie? Car c’est moi qui lui ai annoncé ton départ, c’est moi qu’elle a frappée et c’est encore moi qui l’ai consolée. Je me souviens des paroles que tu ma dites avant de partir et je te comprends. « Je ne vais pas attendre qu’il s’attaque à mon enfant, qu’il me les enlève, lui et Hermy… ». Je me sentais désemparée, ne sachant comment l’annoncer à ma meilleure amie. Harry aussi t’a supplié de rester, pour Hermione, pour le bébé. Mais tu n’as pas voulu nous entendre…

Aujourd’hui, cinq ans plus tard, tu n’es toujours pas revenu et je n’ai jamais revu mon amie sourire comme avant. Elle n’a jamais aimé comme elle t’aimait, non elle ne t’a pas oublié. Elle est chez moi, au moment où je te parle par l’entremise de mes pensées. En ce moment, j’essaie de comprendre pourquoi tu n’es pas encore là. Je lui parle, d’une voix douce en égale. Mais surtout je l’écoute. Elle me parle de toi, sans jamais dire ton nom. Elle ne l’a plus jamais prononcé. Personne ne l’a prononcé depuis cinq ans. Ta fille ne connaît pas ton nom. Le seul à lui avoir parlé de toi, à lui avoir montré ton visage c’est Harry. Mais pour Hermione, pour la respecter, il ne lui a jamais dit ton nom.

Hermione me tire de ma rêverie, elle me dit quelque chose, d’une voix sans timbre et basse, comme toujours. Il y a toujours cette trace de tristesse chez elle, sauf lorsqu’elle parle à ta fille, elle le cache. Mon fils entre dans la cuisine en courant. Il a les cheveux flamboyants et les yeux de son père, tu rirais, si tu le voyais. Il est la fierté de son père et il est doué pour le Quidditch. Derrière lui, suit mon second fils, Kyle. Il a 3 ans et demi, et il tient la main de David qui a 1 an et demi. Hermione me parle maintenant du prochain. Celui qui pointera son nez dans quelques mois à peine. Cette fois, je souhaite avoir une fille, car j’envie l’intimité entre Hermy et sa fille. Elle sera marraine et j’aimerais bien mettre ton nom à côté du sien.

-Ça ne sert à rien; réplique-t-elle. Il est mort.

Mon sang n’a fait qu’un tour. Pour moi, tu n’étais pas mort car le cœur de ma meilleure amie battait encore. Malgré ses paroles, je savais qu’elle ne le pensait pas plus que moi. Dans ton manoir, il y a encore tous tes objets personnels, de ta brosse à dent à tes vêtements. Elle passe une main dans ses cheveux et je remarque les multitudes de marques qu’elle s’était faite avant la naissance du bébé. Je tente de répliquer mais je ne peux pas, car ta fille entre dans la pièce ...

À suivre...

***

Voila, les chapitres sont plutôt court et c'est voulu en fait. C'était à la base pour avoir le plus de point de vu possible sans répétition et jusqu'a maintenant sa a marcher XD Alors le prochain chapitre devrait pas tarder....

Invité

C'est bien écrit j'aime bien ^^ Continues

Merci Blaise ^^ ça fait toujours plaisir a entendre! bon aller chapitre number two

Chapitre 2:

Hermione pensant à Drago:

Ta fille s’approche de moi, mon amour. Elle te ressemble tellement, chéri. Elle me sourit, comme tu me souriais autrefois. Elle tend les bras vers moi et je la soulève pour l’asseoir sur mes genoux. Je joue dans ses longs cheveux platine et je replonge dans le passé, oubliant Ginny, ma fille et tout le reste.

Tu m’avais promis, Dray, que tu serais là pour sa naissance, que tu verrais ses premiers pas, que tu l’élèverais avec moi…mais tu n’as pas tenu ta promesse. Je t’en voulais tant et je t’en veux toujours autant. Je me suis fait mal, je n’avais personne à qui me raccrocher et je les ai blessés en me blessant moi.

-Maman, pourquoi pleurs-tu ?

Je reviens dans cette cuisine et je remarque que tous m’observe. J’essuie cette larme qui a coulé à mon insu et je souris à ta fille. Ses yeux violets se voilent d’inquiétude.

-C’est rien ma chérie, que je lui réponds avec tendresse.

Ses yeux s’éclairent pour devenir identiques au tiens. Ce qui me trouble d’avantage. Je l’envoie jouer plus loin avec ses cousins. Elle part, sa robe rose dans le vent. Je repose mes yeux sur Ginny. Comme elle est jolie avec ses longs cheveux flamboyant et son ventre bien rond. Moi aussi j’aimerais avoir d’autres enfants de toi, mais tu n’es plus là. Es-tu décédé? Ou m’as-tu simplement oubliée et refait ta vie avec une autre femme? Cette pensée me consterne. M’as-tu oubliée ? J’espère que non, car moi je suis incapable de le faire.

Rappelle-toi, la nuit que nous avions passé ensemble près du lac. Cette nuit, où toute ma vie s’est écroulée. Nous étions tous les deux seuls près du saule pleureur. Je contemplais la lune et t’écoutais parler de notre futur, lorsque Ginny est arrivée en courant, James dans ses bras et les joues humides. Les mangemorts venaient d’infiltrer l’école et Harry était introuvable. Tu m’as demandé d’aller avec Ginny chez Hagrid. Tu as couru jusqu'à l’école et je t’ai rejoins. J’ai combattu à tes côtés, mais le sort de ton père m’a touchée et je suis tombée, en dégringolant l’escalier, me cognant la tête à plusieurs reprises. Je ne t’ai plus jamais revu après cette nuit là.

J’essuie une larme sur ma joue tiède et Ginny me murmure quelque chose. Je ne l’entends pas car ta promesse résonne en moi « je serai toujours là…». Mais tu n’es pas là maintenant, alors que j’ai besoin de toi. Pourquoi n’es-tu pas là pour elle? J’aimerais tellement te la présenter. Elle est si jolie, si fragile et si intelligente. Je voudrais que tu entendes son rire, douces petites clochettes d’argent, et sa voix sucrée. Je souhaiterais te voir plonger dans son regard violacé et natter ses cheveux d’anges. Oh mon amour, j’aimerais que tu la voies, juste une fois. Je n’ai pas eu le courage de lui parler de toi, de lui montrer ton visage et de lui dire ton nom.

Elle revient en courant. Elle a enfilé une de mes vieilles robes et des chaussures à talons-aiguilles trois fois trop grandes pour elle. James la suit de près, avec les vieux vêtements d’Harry. Le petit garçon l’embrasse sur la joue et je ne peux m’empêcher de croire que tu serais scandalisé par ce geste. Toi qui étais déjà protecteur avant sa naissance! Je reviens brutalement sur terre et je me souviens que tu n’es plus là. Harry, Ron et Pansy entrent dans la maison. Harry travail pour me ministère et Ron est journaliste. Le survivant embrasse sa femme et soulève son fils dans ses bras. Je détourne le regard pour me concentrer sur le fils et la fille de Ron, Ray, 4 ans et Catarina 2 ans. Pansy me fait un de ses sourires hypocrites, comme toujours depuis ta disparition. Elle m’en a toujours voulu d’avoir eu ton cœur et ce, même si je crois qu’elle aime réellement Ron. Elle est devenue très jolie. Elle n’a plus cette mine de pékinois, mais elle a des formes généreuses, de longs cheveux bruns et un regard ardent. Sa fille lui ressemble tellement et la petite Weasley regarde déjà supérieurement notre petite chérie. En effet, la Parkinson a déjà appris la valeur du sang à ses enfants. Je ne comprends pas comment mes amis la supportent…

Harry s’installe près de moi et me prend les mains. Je l’observe un moment, perplexe. Il demande aux enfants d’aller jouer plus loin et de laisser les grands discuter. Ils obéissent. Que veut-il me dire de si important pour envoyer les petits dans une autre pièce? Est-il malade ? Courrons-nous un danger imminent? Je plonge mon regard dans le sien. Mais il ferme son esprit comme Dumbledore lui a montré dans le passé. Il soupir et relâche légèrement ses mains. Ginny pose sa main sur l’épaule de son mari, lui donnant du courage. Mon meilleur ami, le plus courageux des Gryffondor, manque de courage ? Je n’arrive pas à y croire. Je commence à paniquer. Je serre ses mains et l’interroge du regard. Il baisse les yeux, incapable de supporter mon regard. Il ouvre la bouche puis la referme.

-Harry…dis-je doucement. Que se passe-t-il?

- Il est revenu, Hermy, me souffle-t-il, Drago est revenu…

h'adore, bella, c'ets génial tu as don pour l'écriture!!! j'ai eu les larmes aux yeux ^^ vivement le prochain chapitre ^^

Invité

Le suivant le suivant le suivant !!!!

Invité

Trop belle histoire ta un vrai don comme hermione le dit!!

Un don??

heum...merci ^^
et pitier!! pleur pas Hermy! Sinon je vais m'y mettre aussi!
Bon aller, voila de troisième chapitre! Qui me fait craquer soit dites en passant ^^ bonne lecture!!

Chapitre 3:

Claudia, fille d’Hermione, pensant à sa maman :

Tu pleurs souvent maman… pourquoi? Tu penses que je te crois lorsque tu me dis que c’est parce que tu as coupé des oignons que tu pleures, mais moi, je le sais que c’est parce que tu penses à papa. Je l’appel papa des fois. Mais juste dans ma tête. Je ne sais pas à quoi il ressemble, mais je sais qu’il est là. Oncle Harry me dit souvent que les gens qui ne sont plus avec nous, sont dans nos cœurs. Papa est dans mon cœur. Tu m’as demandé d’aller jouer avec mes cousins, mais moi, ça ne me tentait pas du tout. Quand tu pleures, j’ai jamais le goût de jouer. Je me suis caché derrière le réfrigérateur de la cuisine d’oncle Harry et de tante Ginny, et je vous ai regardé discuter entre grandes personnes. Tu as eu l’air d’avoir si peur maman, quand oncle Harry t’as dis « il est revenu », que ça m’a fait pleurer. Je m’en souviens parce que c’était tout à l’heure. Avant qu’on aille voir ce monsieur là, qui a les cheveux tout blond, presque blanc. Mais au fait qui est-ce qui « est revenu »? Tu ne me l’as toujours pas dis maman? Est-ce que c’est ce monsieur là? Il me fait peur…

Il se met à ma hauteur et me regarde dans les yeux en souriant. Je recule et cours derrière oncle Harry. Toi, tu sembles offensée maman. Le monsieur aux yeux de glace se relève et te serre dans ses bras. Oncle Harry s’assois sur une chaise autours de la table entre tante Ginny et Oncle Ron. Je me hisse sur ses genoux. Je t’entends murmurer :

- Où étais-tu Dray ?

Dray? Comme ma copine Audrey? Le monsieur s’appel Audrey alors ? Ce n’est pas le nom d’une fille ça? Pourquoi il ne répond pas ? Et pourquoi il me regarde comme ça ? J’ai très peur de lui. Me veut-il du mal ou bien me voler ma maman? Je me pose beaucoup de question, tu sais. J’ai remarqué à l’école que je n’étais pas comme toutes les autres petites filles. Elles ont toutes un papa, elles. Et elles ne font pas des trucs bizarres lorsqu’elles ont peur ou lorsqu’elles sont en colère. Je sais aussi que leurs mamans ne pleurent pas souvent comme toi et qu’elles n’ont pas de baguettes magiques et des photos qui bougent. Tu sais, maman, j’aimerais être comme toutes les autres petites filles de mon âge. Moi aussi j’aimerais avoir un papa, même si je sais qu’il est toujours là près de moi sans que je ne le voie. En tout les cas, c’est ce que tante Ginny me dit. Mais elle le dit en pleurant, comme toi lorsque je parle de papa.

- Très loin.

J’ai sursauté en entendant sa voix. Je le regarde un moment. Il est beau le monsieur avec ses cheveux blonds tombant devant ses yeux. Il tourne la tête vers moi et je regarde ailleurs, c’est toi que je regarde maman. Avant de venir, tu as pris soin de cacher ces marques sur tes bras, comment les as-tu faites ? Tu me dis que ce n’est rien, mais je ne suis pas idiote! Je sais que c’est à cause de papa.

Voilà que cet homme dit mon nom…

-Claudia, aimes-tu les glaces?

Je hoche la tête. J’adore les glaces! Tu le sais, hein maman? Il me tend la main et je la prends avec une certaine crainte. Puis je la lâche soudainement et je fige. Comment connait-il mon nom ? Un frisson parcourt mon petit corps et je m’enferme dans la salle de bain. Je sais que je te déçois, maman. Voilà que je pleure moi aussi car je ne sais pas faire ce que je dois faire. Tu voudrais que je l’aime ce monsieur, n’est-ce pas? Tu me demandes d’ouvrir cette porte et j’obéis. Tu me prends dans tes bras, je suis molle comme mes peluches. Tu t’approches du monsieur et je me cache le visage dans ton cou.

- Claudia, ma chérie, que tu me chuchotes. Tu m’as souvent demandé qui était ton papa hein… et bien…

Tu coupes ta phrase en plein milieu et tu hésites. J’ai peur de la suite, mais en même temps, j’ai très hâte que tu la finisses maman…

- Voici ton papa…

Je tourne enfin la tête vers lui. Non. Ce n’est pas mon papa. Chez oncle Harry, il y a des images qui gigotent. Il y en a une de toi quand tu étais jeune en compagnie d’un garçon de ton âge. Sans le dire à personne, je l’ai choisi comme papa. Il a les mêmes cheveux que moi. C’est pour ça que je l’ai choisi. Mais ce Dray-là ne ressemble pas du tout au garçon de la photo. Il est plus vieux… Arrête de me mentir maman ! Ça me fait de la peine. Pourquoi dis-tu que tu pleurs à cause des oignons? Pourquoi dis-tu que c’est mon papa ? Il y a encore plus de questions dans ma tête et je ne peux pas avoir de réponses. Pourquoi me regardes-tu ainsi? Es-tu triste à cause de moi, maman ? Comme lorsque que je fais des bêtises? Réponds maman…

trooooooppp chouuuuu j'ai encore les larmes aux yeux Sad

c'est trop mimi vraiment rolalala

Invité

raaah moi je VEUX ^^ savoir pourquoi Dray est parti... très bon chapitre bon je me remet à l'écriture du mien...

Invité

Roooo c'est top mimi!!!

Voila la suite! bonne lecture les namis!!! ^^

Chapitre 4:

Drago, pensant à Hermione:

Je regarde ton visage angélique et il semble déçu par la réaction de Claudia. Ne lui en veux pas, ce n’est qu’une enfant. Mais oui, ça m’a blessé. J’ai eu l’impression que tu ne lui as pas parlé de moi. Sait-elle mon nom? A-t-elle déjà vu mon visage? As-tu eu le courage de lui dire qui j’étais, de lui parler de nous ? En te regardant j’en déduis que non. Elle est dans tes bras, son corps frêle est secoué de sanglots incontrôlables. Tu caresses ses cheveux blonds platine d’un geste automate. Tes yeux sont remplis d’eau. Ginny, Harry, Ron et Pansy ne parlent pas. Ils regardent tous la petite fille qui sanglote sur ton épaule. Claudia gigote et tu la déposes par terre. Elle tourne son visage vers moi et semble rassembler tout son courage. Elle ouvre la bouche puis dit d’une voix mal assurée et tremblante :

- Le monsieur n’est pas mon papa, maman…mon papa c’est le monsieur sur la photo du salon d’oncle Harry…pourquoi me mens-tu, maman? Comme lorsque tu dis que tu pleures à cause des oignons?

Je reste figé devant son intelligence. Elle est aussi brillante que tu devais l’être à son âge. Qui est cet homme sur la photo? Je te regarde, essayant de lire en toi la réponse.

- Mon papa est beaucoup plus jeune!, rajoute Claudia.

Tu te penches vers notre fille avec un sourire triste.

- Ma chérie….le monsieur sur la photographie c’est….le monsieur qui se tiens devant toi. Sur la photo, c’est lui et moi quand on était jeunes… tu comprends?

Elle ne dit plus rien et semble réfléchir. Je l’observe attentivement. Ses longs cheveux blonds et bouclés tombent en cascade sur ses épaules fragiles. Ses yeux bleus-glace se tintent de violet. Sa peau ivoire semble refléter la lumière de la pièce. Elle ressemble à une poupée de porcelaine. Ses larmes jouent avec la lumière. Elle essuie ses larmes avec sa manche et me regarde en s’approchant d’à peine un pas. Elle joue avec les volets de son tutu violet clair. Je me penche pour être à sa hauteur. Elle avance sa petite main et frôle ma joue. Du bout des doigts, elle tasse une mèche de cheveux pour voir mes yeux, puis chuchote d’une voix semblable à une clochette d’argent :

- Tu es vraiment mon papa?

- Oui…

Elle recule d’un pas. Toi tu sembles offensée, mais pour moi, c’est autre chose. Elle est jeune et ne me connait pas. Je comprends qu’elle ne peut pas me sauter dans les bras comme n’importe quel enfant ferait avec un père qui l’aurait été depuis sa naissance. Je devrai m’en approcher tranquillement et l’apprivoiser en même temps qu’elle me découvrira. Pour l’instant je crois que c’est le maximum que nous pouvions espérer mon amour. Elle va rejoindre Ginny pour jouer avec elle et son fils. Je te tends la main, et tu la prends avec hésitation. Je te conduis à l’extérieur. Comme tu le vois, je n’ai pas eu la vie dont je rêvais. Le manoir est entretenu par les elfes de maisons et je vis dans un petit appartement moldu. Mais ça ne me fait rien.

Je souhaite savoir pourquoi nos voies se sont séparées ? Je sais, c’est moi qui suis parti, te laissant là, entre la vie et la mort. Pendant des années, j’ai cru t’avoir perdu, mais te voilà sous mes yeux. Aujourd’hui, tu me fais face. À 25 ans, tu es toujours aussi jolie mais tu as changée ’Mione. Tes yeux sont de glace et tu me sembles inaccessible. J’ai cette impression que si je faisais un pas vers toi, tu reculerais. Cherches-tu as te protéger de moi? Peut-être ne veux-tu pas souffrir comme autrefois. J’essais de comprendre, mon amour, mais je n’y arrive pas. Notre histoire est si compliqué depuis que je t’ai quitté. Mais je te jure, bébé, que je l’ai fais pour te protéger, toi et Claudia. Mais je te connais, Hermy, tu ne croirais pas si je te disais que c’est pour toi que je l’ai fait. Que dois-je faire pour rattraper ces cinq longues années passées? Si tu savais comment je suis confus… Tes gestes m’attirent à toi, mais tes yeux me défient de te toucher. Comment dois-je agir avec toi? Pour moi, tu es un vrai mystère. Comment Claudia fait pour toucher ton cœur alors que tu t’es tellement renfermée depuis que je suis parti…Explique-moi s’il te plait, mon amour…

C'est trop mignon et trop romantique!!
j'ai hate de connaitre la suite

troooop chou ^^ je veux savoir où était dray tout ce temps ^^

Invité

J'adore trop!!

Invité

Trop mimiiiii >.< Niah je veux la suiteeee ^^ T'as un don fantastique !! Y'on du te donner ma part de talent en écriture parce que, moi, s'est vraiment horrible des fois O.O

Merci tout le monde ^^
bon aller voila la suite et oui j'en est assez de vous faire attendre XD
Vous savez c'est amusant un moment mais ensuite sa deviens lourd!!

Chapitre 5:

Hermione; pensant à Drago :

Je me tiens devant toi, la tête basse et les yeux bordés de larmes. Je retire violement ma main de la tienne et je soupire. C’est si compliqué cette histoire. Tu prononces mon nom et j’ose enfin relever les yeux vers toi. De quoi ai-je si peur? De souffrir encore cette fois? Tu ne sembles pas comprendre par où j’ai passé depuis ton départ. Laisse-moi t’expliquer… mais comment t’avouer tout cela? J’hésite vraiment à te le dire. Tout est flou dans ma tête et dès que j’ouvre la bouche tu me coupes.

-Hermione, lorsque j’ai quitté Poudlard… et que mon père a eu ce qu’il méritait, je suis parti avec ma mère. Nous sommes partis très loin. Ma mère m’a semblé étrange pendant un certain temps. Quelques mois après que je t’ai quitté, elle ma annoncer qu’elle était malade et j’ai du….veillez sur elle. J’avais une grande responsabilité et…

- QUOI?? UNE GRANDE RESPONSABILITÉ??? TA MÈRE EST MAJEUR AU DERNIÈRE NOUVELLE!!! J’AI PASSÉ CINQ ANS A ÉLEVER TA FILLE SEULE PARCE QUE TOI TU ES PARTI!!! ALORS NE ME DIS PAS QUE ÇA C’EST UNE GRANDE RESPONSABILITÉ!!

Mes yeux se remplissent d’eau. Tu en as trop dit. Je crois que tu l’as remarqué. À quoi tu as pensé en me disant cela? Tu ouvres de nouveau la bouche et rajoute :

- …’Mione…sais-tu par où je suis passé pour…

Je ne te laisse pas terminer ta phrase et je te coupe immédiatement la parole :

- NON JE NE SAIS PAS! MAIS JE PEUX TE DIRE PAR OÙ MOI JE SUIS PASSÉ! QUAND TU ES PARTI, J’AI SOMBRÉ DANS LA DÉPRESSION. QUAND CLAUDIA EST NÉE…

Je soupire et essaie de me calmer et reprends d’une voix posée.

- Quand Claudia est venue au monde, c’était encore plus dur pour moi.

Je lève ma manche et dévoile un quarantaine de petites marques sur ma peau blanche. Tu sembles effaré et désemparé. Moi, je reste figée. Tu passes tes doigts sur ces marques et t’arrêtes en voyant tes initiales. Je retire mon bras de sous tes yeux. Nous restons en silence. La nuit tombe lentement et une voix connue me tire de mes rêveries. Ta mère se tiens là, a quelques pas, le teint maladif et frêle.

- Ravi de te revoir Hermione…

- Moi aussi, Narcissa

J’ai peut-être été un peu dure avec toi mon amour. Ta mère semble mal en point, mais toi, tu n’a pas eu a élever une enfant aussi curieuse que Claudia. Je jette un regard à ma montre et reste figée devant l’heure qui a passé. Je me tourne vers toi et je te regarde, désolée.

-Je dois rentrer. Claudia doit être fatiguée.

Je te quitte et entre dans la maison. J’essuie une larme et entre dans la pièce ou dort paisiblement Claudia.

Je la prends dans mes bras et je fais mine de quitter la pièce, mais tu me retiens. Tout doucement, comme si tu l’avais toujours fait ainsi, tu te penches sur notre fille et l’embrasse tendrement sur le front. Te voir agir ainsi me donne un grand frisson. Feras-tu la même chose avec moi? J’aimerais tant que tu le fasses, mais en même temps, j’ai peur que cela me fasse mal. Tu hésites et me regarde. Tu te demandes probablement si tu dois continuer ton geste. Le malaise empli la pièce et devient doucement insupportable. Tu n’as pas été assez vite et je te hais pour cela. Je te laisse planté là au milieu de la pièce et claque la porte, en oubliant que Claudia dort dans mes bras. Elle se réveille en sursaut.

- Maman… se plaint-elle.

-Désolée ma puce. On s’en va à la maison. Tu vas pouvoir te rendormir dans ton lit mon cœur…

- Le monsieur viens avec nous?; me demande-t-elle.

- Qu’il essaie pour voir…

- Quoi? Qu’est-ce que tu dis maman, me demande Claudia qui m’a entendu murmurer entre les dents.

- Rien, rien... chut…

Essaie juste pour voir de nous suivre à la maison Drago Malefoy… Oh que je te hais mon amour!!!

Invité

Trop bien la suite!!
J'adore trop ta fiction!!!

LA suite tata..

c'est super!

Bon maintenant que vous savez pourquoi Drago était partit je vous donne pas la suite! nap! XDD
Je rigole! allez voila^^

Chapitre 6:

Claudia, pensant à sa maman:

Maman, qu’as-tu murmuré? Pourquoi as-tu claqué cette porte? Et pourquoi le monsieur ne nous suit pas? Tu n’arrêtes pas de dire que ce n’est rien mais tu pleures tout le temps. J’aimerais comprendre s’il te plait. Pourquoi essaies-tu de me faire croire que ce monsieur est mon papa? Est-ce que c’est la vérité? Tu m’avais promis qu’on se dirait tout. Alors pourquoi ne m’expliques-tu pas cela? Tu sais, je ne suis pas si naïve. Je sais que tu me caches quelque chose. Que ressens-tu vers lui? L’aimes-tu ? Le détestes-tu? Par Merlin maman, je ne comprends plus rien. Et j’ai bobo à mon cœur parce que tu n’essaies pas de me faire comprendre. Tu sais, maman, parfois il m’arrive de croire que si je n’étais pas là, tout irait mieux pour toi et papa serait toujours là. Quand nous allons chez Mamy et papy, il y a cette boîte avec des images qui bougent. Parfois, dedans, ils montrent des messieurs et des mesdames qui dorment dans des grosses boîtes de bois et on creuse des trous pour les mettent dedans. J’aimerais moi aussi être enfermée dans ces grosses boîtes et aller dans ces trous. Je sais que présentement je devrais faire dodo mais je ne peux me résoudre à fermer les yeux. Parce que j’ai peur que demain, entre toi et moi, ça ne soit plus pareille à cause du monsieur aux cheveux blonds.

Soudain, une légère brise fait danser le rideau de la fenêtre, comme si quelqu’un ou quelque chose l’avait effleuré. Je sers monsieur Boubou contre moi. Tu sais, c’est la peluche que tante Ginny et oncle Harry m’ont offert pour mon anniversaire. Je l’aime bien monsieur Boubou, parce qu’il me console souvent, lui et madame Laurie, la poupée que tu m’as donnée l’année dernière. J’ai peur seule dans ma grande chambre. Il fait noir et je ne vois pas bien. J’ai l’impression qu’il y a quelqu’un dans ma chambre. Que lui me voit et pas moi. Quelque chose bouge dans la noirceur et je commence à pleurer. J’ai très peur maman. Cette chose se berce sur la chaise berçante et m’observe. Je m’enfonce dans mon lit et sert très fort monsieur Boubou en pleurant en silence. Je veux faire comme si je dormais pour ne pas me faire repérer. La chaise craque et la je ne peux pas faire autrement que crier.

Tu arrives rapidement dans ma chambre et allumes les bougies d’un coup de baguette. Je suis assise dans mon lit et regarde le monsieur de tout à l’heure dans ma chaise. Je n’avais pas rêvé… il y avait bel et bien quelqu’un dans ma chambre. Tout à l’heure j’avais peur, mais à présent, c’est étrange, je n’ai plus peur du tout. Comme si quelque chose au fond de moi me disait que le monsieur avait été là finalement pour m’aider, me protéger… Il te sourit étrangement et toi, tu sembles vouloir lui faire mal avec tes yeux. Je reste silencieuse alors que vous semblez parler avec vos yeux. Le monsieur se lève et je gémis. Tu déclares d’une voix forte et froide :

-Va-t-en Malefoy.

-Depuis quand m’appelles-tu par mon nom? demande le monsieur surpris.

-Depuis que tu m’as laissée pour morte. Maintenant efface ce sourire narquois de ton visage.

Le monsieur change d’air tout à coup et nous regarde toutes les deux avec un air triste.

-Hermy… dit-il au bout d’un moment.

Puis tu l’interromps.

- Ne commence pas avec tes petits noms affectueux…

- D’accord, d’accord… excuses-moi. Mais tu dois absolument m’écouter. C’est très important.

Il me jette un regard et continue à parler. J’ai peur maman...

- Je ne suis pas venu ici pour rien… je… Écoute, je ne crois pas que Claudia devrait entendre ce que j’ai à te dire…

Tu te tournes vers moi et me demande d’aller me coucher dans ta chambre. J’obéis. Mais, j’entends tout de même la dernière phrase que le monsieur te dit.

- Elle est en danger…

Qui est en danger? Moi? Je ne sais pas ce qui se passe entre toi et ce monsieur, mais j’aimerais le savoir. Ça commence sérieusement à me faire peur… Tu m’as dit qu’un jour je comprendrais… quand je serais grande. Mais je ne veux pas attendre jusque là, c’est trop long. Tu m’as toujours dit que si je croyais en quelque chose, cette chose allait se produire. Tu sais, j’ai toujours cru que papa reviendrait et que nous serions comme toute les familles, mais c’est faux. Papa, ce monsieur aux cheveux blonds sur la photo qui gigote, n’est pas revenu. Qu’est-ce qu’il faut que je fasse pour qu’il vienne me voir? Tu sais maman, chaque année à mon anniversaire, je fais les mêmes vœux : qu’il revienne. C’est aussi ce que je demande au Père Noël. Mais il faut croire que je ne suis pas assez sage pour l’avoir mon papa. Il m’arrive de faire ce rêve ou nous sommes tous les trois. Tu es toujours assise sous un arbre dans mon rêve avec papa et tu as un ventre bien rond. Quand je m’approche de vous, papa me chatouille et je ris jusqu’à avoir mal au ventre. Puis tu me dis que bientôt j’aurai une petite sœur ou un petit frère avec qui jouer. Mais je sais que ce n’est qu’un rêve et que les rêves ne se réalisent pas toujours. C’est comme les contes de fées, c’est là juste pour nous faire rêver. Tu me dis, parfois que des jours meilleurs sont devant nous, que nous serons heureuses, mais plus les jours passent moins j’ai envie de sourire. Je regarde les familles autour de nous. Ils sont tous heureux, mais je crois que moi je n’ai pas le droit de l’être.
Je m’allonge enfin dans ton lit, comme ces gens dans ces boîtes de bois. Je tire les couvertures et ferme les yeux en souhaitant faire de nouveau ce rêve…

Chapitre 7:

Hermione; pensant à Drago :

Tu m’as dis qu’elle était en danger… Ma fille, mon bébé… des larmes coulent sur mes joues et j’en tremble. Tu es venu protéger ta fille? Celle que tu as abandonné depuis sa naissance et même avant? J’abaisse lentement ma baguette, t’invitant ainsi à me prendre dans tes bras. Mais tu ne bouges pas. Incapable de dire quoi que ce soit, je m’assois sur le lit à baldaquin de ma fille. Je te fais toujours face, mais je ne te vois plus. Je n’ai qu’une envie, celle que tu me sers contre toi pour sentir ta chaleur me réchauffer. Je t’en veux. Je t’en veux de ne pas agir comme autre fois avec moi. Je sais que c’est un peu de ma faute, que j’ai agi étrangement, mais je n’ai pas changé. Pas tant que cela. Oui, j’ai mûri depuis mes 17 ans. J’ai eu le temps de prendre de la maturité. J’avais une fille derrière moi, qui comptait sur moi. Mais tu n’étais pas là. Non, toi tu m’as laissé en plan avec ce bébé qui avait besoin de tellement de chose. Tu attends quoi de moi? Que j’agisse avec sang-froid alors que quelqu’un cherche à tuer la seule chose qui m’a gardé envie? Ma vue se brouille et un frisson s’empare de moi. J’essuie la première larme qui s’aventure sur ma joue. Je me relève et te regarde d’une façon sévère.

- Tu mens! Te crie-je.
- Non ‘Mione. Jamais je ne mentirais sur un sujet comme ma fille.
- Qui lui veut du mal? Qui voudrait faire mal à une enfant sans défense?
- Pas une enfant, ‘Mione. Mais bien tous les enfants sorciers de sang impurs; que cet enfant soit sang-de-bourbe ou de sang-mêlé.
- Mais pourquoi? Fais-je de plus en plus désespérée.
- Pour le retour du Seigneur des ténèbres. La rumeur dit que ce sera l’uns des ces enfants qui le détruira. Et comme, Claudia en fait partie…

Je fais quelques pas dans la chambre de ma fille. Quel homme aussi cruel qu’il soit peut vouloir tuer des millions de petits enfants parce qu’il croit qu’il y a en un qui va le faire mourir? Et Encore, ce ne sont que des rumeurs! Pour la deuxième fois en quelques minutes, j’ai cette envie que tu me prennes très fort dans tes bras pour me consoler. Tout cela serait tellement plus simple s’il n’y avait pas Claudia. Pas que je regrette qu’elle soit parmi nous, non je l’aime, c’est ma fille. Mais tout est plus compliqué avec une enfant de cinq ans. Elle ne peut pas tout comprendre, elle est encore trop jeune. Elle se méfie trop de toi. De moi, aussi. Depuis ton retour, elle ne veut plus m’approcher. Elle a trop peur de toi. Elle ne saisit pas ce qui se passe entre nous. Et comment pourrais-je lui expliquer? Je ne le saisis pas moi-même. J’aimerais tant que tout soit comme avant. Avant que tu partes. Avant qu’elle naisse…

Puis, comme si quelqu’un d’autre avait pris possession de mon corps, je marche vers le salon d’un pas décidé. Tu me suis, car j’entends tes pas à la suite des miens. Arrivée au séjour, je sors une plume et un parchemin. J’écris quelques mots et m’approche de ma chouette. Elle part avec le message et je l’observe jusqu'à ce qu’elle ne soit qu’un point lointain. Je me retourne vers toi, le regard haineux, comme si tout cela était arrivé par ta faute. Pourtant je sais que ce n’est pas toi qui essaie de tuer Claudia.

- Qu’est-ce qu’on va faire maintenant?

Mes mots raisonnent dans les pièces vides. Tu ne me réponds pas et tu cherches une réponse. Des images défilent rapidement dans ma tête et des mots les accompagnent. Que vais-je faire sans mon enfant? Y a-t-il un moyen de la sauver? Je m’imagine agenouillée devant une plaque dorée où est gravé le nom de ma fillette, pleurant toutes les larmes de mon corps. Ce même corps secoué de sanglots épouvantables qui m’empêchent de respirer. Comment puis-je penser à ça alors qu’elle est encore vivante? Peut-être a-t-elle une chance de survivre à ces monstres? Pourquoi m’en faire? Je suis certaine qu’elle a une chance. Peut importe la solution, je la sauverai.

Comme si tu avais lu dans mes pensées, tu déclares d’une voix posée :

- Nous la sauverons, elle vivra, je te le promets.

Soudain, un cri terrifiant déchire la nuit. En une fraction de seconde nos regards apeurés de croisent et nous comprenons que ce cri vient de ma chambre… Je me précipite dans le couloir mais tu m’arrêtes, sort ta baguette et passes devant moi, le regard dur comme je ne t’ai jamais vu l’arborer. Tu sembles prêt à tuer quiconque tu trouveras sur ton chemin. Tu sembles prêt à sauver ta fille, notre fille. J’ai soudain une confiance aveugle en toi. Je sais, que tu es revenu pour de bon et que tu nous protégeras, quoi qu’il arrive. Je te suis à quelques pas derrière et t’entends pousser un soupir. Puis, contre toute attente, tu pouffes de rire. Un rire nerveux sans doute. Je te bouscule un peu afin de voir par moi-même la terrible scène qui t’a fait perdre ta contenance et comprends à mon tour. Claudia se trouve assise au milieu de mon grand lit, monsieur Boubou dans les bras, le pouce dans la bouche, et les larmes aux yeux. La chambre elle, est vide.

-J’ai fait un « maurais » rêve maman…

-On dit « mauvais » rêve ma puce, pas « maurais » rêve…

Je te regarde regarder notre fille avec un sourire aux lèvres. Comme tu es beau lorsque tu parles ainsi à notre fille… Puis, abandonnant toutes mes craintes et ma rancune, je te sers dans mes bras.

aaaah bella j'adore!!! les larmes aux yeux encore!!! je veux la suite!!! je veux la suite!!! je veux la suite!!!

voldy veut la suite? (ça marchera mieux peut-être lol)

Les désirs de mon maître son des ordres! XD Parcontre, ça signifie que je vais devoir finir le chapitre 12 le plus rapidement possible XD Bon aller voila!

chapitre 8 :

Drago; pensant a Hermione :

Tu me sers dans tes bras, comme autrefois. Ta panique d’il y a quelques instants semble s’être envolée. Je ne sais pas quoi faire. Ton geste, aussi touchant qu’il puisse être, me déstabilise au plus haut point. Évidemment, en bon Malefoy, je le cache. Puis rassemblant tout mon courage, je passe mes bras autour de ta taille menue. En cet instant, j’oublie tout. J’oublie Claudia et le danger qui la menace. J’oublie ma mère qui doit s’inquiéter follement de mon absence. Jusqu’au moment où tu quittes mes bras pour rejoindre la petite poupée de porcelaine en pleure sur ton lit. Je te regarde la serrer contre ta poitrine et lui caresser tendrement ses cheveux d’anges. Je ne peux m’empêcher d’être fier de ma fille. Notre fille. Tu m’invites du regard à me joindre à vous. J’approche lentement du grand lit et m’y assoit.
Ma main se perd dans les cheveux si blonds de mon enfant et caresse ta petite main. Claudia se tourne vers moi. Le regard encore humide et me murmure :

- Dans ce rêve, j’étais dans une des grandes boites de bois sous la terre. Dans cette boite, il y avait toi et maman…vous faisiez dodo très, très fort.

Je fronce les sourcils. Claudia a rêvée de notre mort? À tous les deux? Et puis, d’où viens ces boites de bois sous la terre?
Elle continue :

- Et quand que vous vous êtes réveillés…ça m’a fait bobo ici, dit-elle en pointant sa poitrine. Après il y avait juste du noir.

Tu me regardes, effrayée, comme pour me dire quelque chose que je ne comprends pas. Tu frôles sa joue et murmures tendrement, comme si de rien n’était :

- Ce n’est rien mon trésor. Rendors-toi maintenant.

Tu la bordes avec amour et me rejoint à la cuisine. Ton soupir me permet d’apercevoir ta crainte la plus profonde. Une étrange lueur joue dans tes yeux ambrés. As-tu si peur? Mais peur de quoi? Tu te laisses tomber sur une des chaises de bois et passes une main fébrile dans tes boucles miel. Je m’installe sur la chaise face à toi et t’observe silencieusement, attendant que tu prononces quelques mots qui pourraient tout m’expliquer en détail. Enfin, tu te lances :

- Elle…Claudia a… Elle… Enfin…

-Va droit au but ‘Mione. Te dis-je d’une vois qui se veut rassurante, mais qui ne cache aucunement mon anxiété.

- Claudia a déjà fait… enfin, elle a des visions… Il lui est déjà arrivé, par le passé, de savoir des choses qui à la fin du compte, se sont passées des semaines plus tard.

-Tu crois que ce rêve en est une ?
- Si.

Mon dieu, Hermione, pourquoi cela tombe sur notre fille? Pourquoi sur notre Claudia? Cet ange qui a fait battre ton cœur, qui t’a gardée envie pendant cinq ans? Je me prends la tête entre les mains et soupire profondément. Pourquoi est-ce à nous que cette histoire arrive? N’aimerais-tu pas que quelqu’un d’autre soit à notre place? Bien sûre nous ne sommes pas à plaindre. Nous avons une fillette aimante et si jolie et nous nous aimons… Enfin… je crois. Moi, je t’aime. Mais toi? En effet, il y a cette ombre au tableau. Notre couple instable semble être entre les mains d’une gamine de cinq ans. La sécurité de cette même gamine est également un obscurcissement à notre merveilleuse représentation. Puis il a cette chose qui assombrit ton regard depuis que je suis revenu. Un ombrage qui m’est d’une origine inconnue. Où sont passés ces yeux ambre qui brillaient de mille feux? Où est parti ton rire si doux? Tu as perdu ton éclat, chérie. Peut-être est-ce à cause de ce qui se passe maintenant? Entre nous?

Comme si tu avais lu dans mes pensées, tu me prends la main et me souris légèrement. Sur ton bras découvert, je remarque pour la deuxième fois en si peu de temps ces marques rougeâtres et blanchâtres sur ta peau bronzée par les jours ensoleillés. Elles sont si petites, mais me font si mal. Je ne peux t’imaginer, diriger toute ta rage contre ta peau douce. Pourtant c’est ce que tu as fait. Le regrettes-tu aujourd’hui? Je l’ignore.
Incapable de faire face plus longtemps à ton regard noir, je retire ma main de la tienne et me lève. Je contourne la table et me dirige vers la porte. Je te donne une excuse bidon pour prendre congé. Je te déclare qu’il se fait tard et que je suis épuisé. Tu me souhaites bonne nuit d’une voix étranglée. Tu t’approches de moi. Ton parfum, une envoûtante odeur de jasmin et de vanille, m’enivre. Je sens ta chaleur contre mon corps et mon cœur se débat.

Je parcours les derniers centimètres qui nous séparent et atteins tes lèvres sucrées. Après un court moment, tu te sépares de moi et tu retombes sur tes talons. Ce baiser m’a laissé sur ma faim. J’ai envie de goûter encore une fois tes lèvres, de te serrer si fort contre moi. Pourtant je me retiens? Nous avons déjà beaucoup avancé ce soir. Je déposer un chaste baiser sur ton front et sort.

Mon cœur est tellement emballé que même la fraicheur de ce mois de septembre n’arrive pas à faire diminuer ma chaleur corporelle. Sur mes lèvres, il y a encore le goût sucré des tiennes. Ton parfum délicat flotte autour de moi comme une aura. J’ai même cru sentir ton cœur battre à l’unisson avec le mien…

Invité

J'adore!!!
Je n'ai pas la larme à l'oeil mais franchement je classe ton histoire dans mes préférés!!!!

ooooooooh j'espère que hermy et dray ne vont pas mourir ou je serai vraiment vraiment aps contente!!! j'adooooore encore et toujours ^^

Merci toute les deux ^^
C'est un honneur d'être classer parmis tes histoire favorite, Mary ^^